Caquet, Cabri, Jonquilles...
Ce dimanche,
après la traversée de la veille au Moustayous, nous décidons, pour nous
éclaircir les idées, de retourner brasser des cailloux au Caquet.
Nous sommes 8, Jean
Claude, Joël, Étienne, Jean, Alain D, William, Alain M et Cathy des Aquas, c'est
plus que parfait pour pouvoir faire la chaine et remonter les seaux dans des
conditions optimum.
A l'entrée du
trou, le courant est aspiré très fort et toute la journée il nous rafraichira
plus qu'il ne faut, ce sera désagréable.
Nous commençons
à remonter des seaux, toujours des seaux. Au cinquantième, c'est la pose casse
croute, devant un bon feu allumé de main de maitre par notre ami Jean Claude,
la pluie de la veille ayant humidifié le bois mort.
Nous reprenons
le travail mais après une nouvelle cinquantaine de seaux, nous levons le
chantier, cela devient un peu problématique au fond, avec tout ce cailloutis
qui ne fait que redescendre à chaque fois que l'on retire une grosse pierre.
Et pourtant, le
vent est là, très violemment aspiré. La
suite pour une prochaine fois mais cela devient de plus en plus compliqué.
Comme il n'est
pas tard, Jean demande à voir le Cabri qui est à une vingtaine de mètres. Il
s'y insinue la tête la première et lance des blocs. Du coté gauche c'est bien
un puits qu'il sonde sur 10-15 mètres.
Nous reprenons donc
sa désobstruction mais la roche est dure et c'est toujours très difficile. Mais
nous avancerons quand même un peu.
Au retour, nous
cueillons quelques jonquilles, histoire de nous persuader que le printemps
n'est plus vraiment loin. D'ailleurs la pluie s'est remise à tomber...
Alain M
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