Dans la rivière de Médous
Nous sommes 14 à nous retrouver sur
le parking des grottes de Médous.
Avec l'aimable autorisation du
propriétaire, Jean Brunelet, que nous remercions une nouvelle fois ici,
l'objectif de la sortie est d'aller se balader dans les galeries non visitées
par le public et surtout de se faire la rivière, en un mot se faire plaisir.
L’ambiance est bonne et les
plaisanteries vont bon train pendant l’équipement de chacun, qui sa néoprène,
qui sa combinaison spéléo trop petite, etc....
Tout le monde est prêt, une photo
de groupe et c’est parti pour plus de 3 heures d’aventure, de paysages
fantastiques, de cris, de rire et de chants.
La galerie aménagée est vite passé,
avec quand même plusieurs arrêts afin d’admirer les splendides concrétions de
toutes sortes.
On arrive au terminus des visites et
rapidement la « mise à l’eau » avec pour certains des cris de aie aie
aie et pour d’autres plus stoïques uniquement des « mais elle est bonne ».
Le niveau est relativement haut,
fonte des neiges oblige et c’est à contre courant que nous avançons.
Il nous faut zigzaguer, aller à
droite, à gauche afin de choisir les passages les moins profonds. Mais tant
pis, on se jette à l’eau, même à la nage pour certains.
Quel régal cette progression dans
ce lit de rivière, avec ses virages, ses grandes portions rectilignes, ses
quelques passages bas où le courant est encore plus fort.
Nous arrivons à la galerie des
orchidées, la merveille de la grotte.
C’est ensuite une nouvelle fois la
rivière, ses grands tronçons rectilignes et enfin l’arrivée au siphon terminal.
Une petite escalade nous permettra
d’accéder à une galerie fossile, très spacieuse mais un peu boueuse. Par contre
les concrétions y sont magnifiques, majestueuses. L’arrêt casse croute se fera
là, d’ailleurs un bloc est dénommé la table, cela veut tout dire.
Chacun se met comme il peut, nous
sommes comme sur des gradins.
Jean qui fête son anniversaire installe
sur la table des gâteaux, des verres et nous sert le champagne.
Après avoir bu le café, il faut
songer au retour.
Nous prenons la variante aérienne
pour éviter la désescalade et ne retrouvons l’actif que 250 mètres plus loin.
Ce sera ensuite un passage à la termitière,
histoire d’admirer cette concrétion originale et ensuite la sortie. Il est déjà
plus de 15 heures.
Le film de la sortie fait par notre ami Jean Claude, cliquez ici.
Le film de la sortie fait par notre ami Jean Claude, cliquez ici.
Encore une fois un grand merci à Jean Brunelet.
Alain M
A la fin du parcours on était quelques-uns a avoir éteins nos lumières sur les pas de Fred dont l'acéto éclairait plein pot et c'était drôlement beau .
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