Cousta, Caillouet et Taulemale


Samedi 12 mars
Nous sommes 6 ce samedi pour retourner prospecto-explorer dans la zone autour du massif du Coussaout. Patrick et Sandrine, Bubu, Étienne, Jean Luc et Alain M.

Les sorties précédentes nous ont laissés un peu sur notre faim et un retour s'y impose.
Nous partons depuis le bas du Col d'Ech, cela nous parait plus judicieux que le départ de la dernière fois qui longe une petite piste ou un croisement serait hypothétique et les places de parking pas légion.
Nous suivons un joli sentier, une "piste" qui nous mène rapidement sur les flancs de La Cousta.
Nous faisons un passage au Gouffre de la Couste et en dressons sa topographie.
Au passage nous repérons un autre petit départ, ce sera le CO18. Pas de suite mais petit départ à noter.
Nous poussons ensuite sur le flanc Est du Caillouet et redécouvrons une cavité marquée par le CSL. Dans notre inventaire ce sera le CO19.
Un très bon courant d'air sort de cette cavité mais à environ 5 mètres de profondeur cela se termine par une faille pincée. Pas de suite, dommage.

Nous suivons ensuite le flanc sud du Coussaout et atteignons le col de la Pelade.
Direction sud sud-ouest pour une prospection en règle du flanc du Taulemale, il y aurait une cavité non répertoriée à trouver.

Hélas, après un aller-retour dans la neige, rien ne se présente à nous dans la zone de recherche.
Bien plus bas, un bouquet d'arbre attire notre attention. C'est un départ, un puits d'environ 2 mètres, mais pas de suite apparente. Nous relevons sa position, ce sera le CO20.
Retour au col pour trouver un départ qui pourrait être le CO15 mais ce n'est pas certain.
Il nous faudra faire d'autres investigations.

La journée s'avance bien, le soleil tarde à venir, la météo s'est trompée.
Et à partir de la cote 1000 mètres, une bonne vingtaine de cm de neige contrarie un peu la marche.
Nous passons en flanc nord du  Coussaout et décidons de redescendre après toutefois avoir fait une escale à son gouffre éponyme.
La descente se fera ensuite tout droit dans la pente, on navigue à vue.

Alain M 
  Un arbre solitaire





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