Maradéro suite ... et la suite
Véronique D,
Jean Luc, Jean Claude, Bubu, Alain M et Alain D.
Puisque le temps
n'est pas aussi mauvais qu'annoncé, nous décidons de retourner à la Maradero,
histoire de continuer la désobstruction. Alain D qui a un petit créneau pour le
matin, nous accompagne et ira lever la topographie de la grotte découverte
jeudi dernier.
Le parking de
Bellocq est occupé par les voitures des chasseurs qui ont organisé une battue
et nous devons nous garer devant l'ancien restaurant Monjouste. Ceci nous
rappelle de bons souvenirs, à l'époque où le chemin n'était pas encore
carrossable et que nous montions à l'Isarce, nous étions bien plus jeunes...
Nous décidons
même de monter à la cavité en empruntant le chemin des Charbonniers. Il est
bon, de temps à autre, de changer d'itinéraire. Nous en profitons pour voir
une petite cavité repérée par Jean Claude mais celle ci ne donnera rien,
uniquement 2 à 3 mètres de galerie.
La montée
reprend après cet intermède et les derniers mètres de crapahut sont un peu
"raids" pour atteindre le trou mais tout le monde arrive à bon port.
Alain D et Véro
partent pour la topo de la grotte, Véro nous rejoindra ensuite.
Nous descendons la
Maradero à 4 et continuons les travaux de déblaiement de la trémie pour nous
faire un passage. Après 2 heures d'effort, c'est chose faite et Jean Luc
franchi en premier le passage.
Nous le suivons
et débouchons dans une petite salle très concrétionnée. Au fond, un tout petit
trou et derrière, une nouvelle fois, la suite.
La désobstruction
sera assez facile et ne prendra pas très longtemps. C'est à Bubu que revient
l'honneur de passer en premier. Il s'y prend bien et l'étroiture est rapidement
franchie. Derrière c'est grand, une belle salle s'offre à nous.
Nous la
fouillons de fond en comble et parcourons plusieurs ramifications qui n’iront
hélas pas bien loin. Nous refaisons une petit désob dans les graviers d'une
trémie et Véro pourra encore parcourir quelques mètres de plus mais terminé.
Il ne reste
qu'un puits remontant qui semble donner dans une salle. Sans matériel d'escalade
et malgré nos efforts, il n'est pas possible de le gravir. Ce sera pour une
autre fois.
Nous remontons,
heureux de cette nouvelle découverte qui signe, une nouvelle fois, qu'une cavité
n'est jamais complètement terminée.
Alain M
superbe journée, je me suis régalée !
RépondreSupprimerV
Super faut continuer ça va passer par l'escalade, allez Véro!
RépondreSupprimermerci pour tes encouragements Miguel , manquait pas grand chose, et je commence à y prendre goût à ces petites grimpettes .
RépondreSupprimerV