Quand les blaireaux sont lâchés

Jeudi 7 novembre, Pascal F

J’ai trouvé facilement les deux cavités.

Pour Marie Cachequille c’est à 20 m du ruisseau, du chemin. 

Bien visible, une entrée 2 x 1 m . Etroiture , toute petite salle, quelques concrétions en dents de requin.  

Plus intéressant, l’autre entrée ou sortie à 10m à gauche. Je suis rentré en fait par la en creusant pour agrandir le trou de blaireau et derrière  une courte galerie avec nid de feuille et WC bien rangé de la bête.  


Laquelle ? Pas là ou partie se cacher au fond d’un diverticule car j’ai entendu quelque chose .

400 m plus loin en suivant le ruisseau ombragé,  il y a effectivement à gauche un ru qui se remonte sur 25 m et sur une pente en forêt pleine de trous de blaireaux,  de l’eau sort de terre entre quelques petits rochers serrés.  Ce n’est pas là mais 2 m au-dessus que devait se trouver la résurgence du Paillet , trou presque bouché . 

Là aussi j’ai gratté et me suis enfile la moitié du corps pour découvrir un boyau laminoir de 20 cm de haut Je n’y dérangerai pas la chauve-souris pendue en plein milieu et regagne ma voiture à 15h30.

Voilà c’est tout, pas de miracle mais une belle balade ensoleillée, dans les bois, les prés et élevage de superbes porcs noirs de Bigorre !


Pascal  




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