Il devait faire meilleur à l'est.
Samedi 23 novembre, Jean Claude,
Joel, Bubu, Philippe et Alain M
Ce samedi, la météo comme indiqué
devait faire des sienne.
En partant de Tarbes à 8 heures, le
ciel était bleu, la lune brillait de son premier quartier, tout allait bien.
Mais déjà en arrivant au parking de
l'autoroute, un arc en ciel se dessinait vers Lourdes, signe d'une pluie qui
arrivait de l'ouest.
Et effectivement, au fur et à
mesure que nous avancions vers Lourdes et St Pé, la pluie se renforçait.
Mais, armé d'une grande bâche, la
pluie ne devrait pas nous mouiller ou si peu.
Hélas, c'était compter sans le vent
qui, vers 10 heures, se mit à souffler, d'abord en petites rafales puis de plus
en plus soutenu.
Lorsque les bâches se mirent à
gonfler comme des voiles et que les ficelles de retenue se furent défaites, il
fallut se rendre à l'évidence, on ne pouvait rester.
Ce fut très difficile de faire
ressortir de la cavité notre ami Joël, qui sentant la suite sous ses pieds,
avec encore un peu de terre à retirer, ne voulait pas lâcher son ouvrage.
Mais à l'impossible nul n'est tenu
et la retraite s'imposait, dans une atmosphère dantesque, en priant que les
arbres malmenés par le vent n’allaient pas tomber à coté, voir dessus nous.
En un mot, une retraite d'urgence,
pour ne pas dire une bérézina.
A 13 heures nous étions bien au
chaud, dans le garage à Jean Claude, à nous restaurer et à refaire le monde.
On y retourne quand ?
Alain M
J' hésite entre "on est des aventuriers" et entre "on est de grands malades"...
RépondreSupprimerdes terrassiers certainement!
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