La digestion des meringues
Tout le
monde le sait, en cette période de fêtes de fin d'année, un repas un peu trop
copieux et/ou un peu trop arrosé peut vite vous incommoder voire même vous
indisposer pendant plusieurs jours...
Les
meringues de Bagnères croustillent et leur cœur sucré et fondant vous
colle aux dents à tel point qu'il est parfois difficile de s'en défaire.
Pourtant c'est tellement bon qu'on en redemande.
Aujourd'hui, une bonne nouvelle attendait tous ceux qui aiment les
meringues ! Le travail n'est pas fini et le foyer un peu en contre-haut du trou
avec vue imprenable sur la plaine n'est pas prêt de s'éteindre ! Pourtant, la
suite est là. Pas très large, c'est sûr. Et le courant d'air qui
l'accompagne n'est pas bien vaillant en cette fin d'année mais notre
imagination l'aide un peu...
Il faut
bien continuer à y croire pour avoir une bonne excuse de monter là-haut
s'asseoir sur une motte de gispet près du feu, un verre de rouge dans une main,
un sandwich à la saucisse dans l'autre.
Et puis, comme pour nous rappeler qu'il faudra un jour songer
à changer de pâtisserie, quand on ne s'y attendait plus, sur le chemin du
retour, la découverte d'un puits. Profond d'une dizaine de mètres pour les
plus pessimistes d'entre nous, plus d'une trentaine pour les plus optimistes.
Mais non répertorié sur la base, le plus important !
Les aventures foisonnent, faut-il encore savoir les saisir,
souhaitons que l'année qui s'annonce soit aussi riche que celle qui s'efface.
Jean
L'année qui va commencer va débuter en fanfare ! Penses à l'escalade qui nous attend à la Verna... Et à l'explo au delà (évidemment)
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