Ballade, prospection, exploration.....
Samedi 3 décembre 2016
Nous sommes 6 au départ du sentier du Bergons. Le ciel est d'un bleu que je qualifierai de Provençal!
La température est fraiche, les sacs sont vite chargés, lourdement chargés, et c'est parti pour revoir des trous entre le Col d'Andorre et le Col d'Espadre.
La température est fraiche, les sacs sont vite chargés, lourdement chargés, et c'est parti pour revoir des trous entre le Col d'Andorre et le Col d'Espadre.
Jusqu'à la cabane du Col d'Andorre, le soleil et la chaleur nous accompagnent mais dès qu'on bascule de l'autre côté, côté Saint Pé, le sol est encore gelé et comme d'habitude on se retrouve à l'ombre. La marche s'accélère pour gagner quelques calories d'autant plus que maintenant c'est en pente. On arrive rapidement au L47 où un froid glacial nous accueille.
Le courant d'air est aspiré au niveau du trou mais pas avec une force qui nous donnerait le courage de s'attaquer au chantier. On a juste le temps de récupérer une bouteille de vin cachée l'année dernière et on se dirige vers un autre trou repéré il y a quelques mois par Jean Luc. Là non plus, le courant d'air n'est pas évident.
A côté, un éboulis attire notre attention, mais après avoir remué quelques blocs, là aussi le froid de ce fond de vallon nous fait fuir. Il doit faire moins de zéro. 100 mètres au dessus, la forêt est au soleil...du coup, on abandonne le vallon pour se diriger vers les crêtes ensoleillées au dessus de l'Agué. Un joli départ est rapidement trouvé mais comme il est déjà plus de midi, on trouve un coin paradisiaque d'herbe grasse, au soleil et c'est parti pour le casse croûte accompagné d'un Gaillac vieilli dans le bois de Poutbelhou ! Il n'a pas du apprécier les différences de température mais on fera quand même semblant de l'apprécier !
Ça caille ! |
A côté, un éboulis attire notre attention, mais après avoir remué quelques blocs, là aussi le froid de ce fond de vallon nous fait fuir. Il doit faire moins de zéro. 100 mètres au dessus, la forêt est au soleil...du coup, on abandonne le vallon pour se diriger vers les crêtes ensoleillées au dessus de l'Agué. Un joli départ est rapidement trouvé mais comme il est déjà plus de midi, on trouve un coin paradisiaque d'herbe grasse, au soleil et c'est parti pour le casse croûte accompagné d'un Gaillac vieilli dans le bois de Poutbelhou ! Il n'a pas du apprécier les différences de température mais on fera quand même semblant de l'apprécier !
Le trou a peut être déjà été vu mais au fond, vers -5, une désob semble possible pour descendre plus bas. Il suffirait d'un ou 2 seaux .... On reviendra. Quentin en profite pour descendre son premier puits. Il promet ce petit jeune !
La prospection se poursuit en crête, au soleil, et c'est au tour de Joel de tomber sur un beau trou non marqué sur la base. Malheureusement, il est irrémédiablement bouché vers - 5.
Tour en prospectant, on finit par retomber au niveau du chemin qui débouche dans les prairies du Col d'Espadre. Il est 4 heures, il est temps de redescendre, les jours sont très courts en cette période. En arrivant presque au terminus carrossable de la piste, on décide de descendre un petit trou repéré il y a quelques mois en redescendant tout droit dans la prairie sous le Trou de la Vache.
Quentin descend, on ne l'arrête plus! 6 mètres plus bas, arrêté sur un palier, il nous dit que le puits à l'air de continuer après un passage étroit. Alain s'équipe à son tour pour le rejoindre et effectivement, une désob facile permettra de descendre un bon cran de plus. C'est une excellente nouvelle qui clôture cette belle journée. On arrivera aux voitures en même temps que la nuit !
Bubu
Bubu
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