Taon et trou du Fou
Samedi 20
juillet, Bubu, Etienne et Alain M
Arrivés au
terminus de la piste, nous sommes accueillis par une nuée de taons qui s'en
donnent à cœur joie pour essayer de nous piquer.
Paf, paf, ils
explosent mais il y en a tellement que nous devons rapidement nous protéger et
monter en sous combinaison. Et dire qu'il fait chaud, très chaud...
A l'entrée du
trou c'est la chaleur qui nous oblige à nous presser et à nous mettre sous
terre.
A moins 5 il
fait déjà meilleur mais le courant d'air aspiré est ressenti chaud jusqu'au
haut du passage du Jard. Ensuite cela se décante et nous retrouvons une
température agréable qui cependant nous semblera bien fraiche après quelques
heures passées dans la cavité.
Nous réattaquons
le chantier dans ce petit méandre qui nous tient en haleine depuis plus d'un an
maintenant. Le courant d'air est présent, aspiré, mais moins marqué qu'à
l'entrée. Une bonne partie se perd en route et nous voudrions bien savoir où?
S'ensuit une
séance de paillage qui va durer près de 6 heures, uniquement entrecoupée par la
pause casse-croûte.
Nous déplaçons
un joli tas de cailloux que nous nous escrimons à bien ranger, l'espace
disponible étant restreint.
A 17h30 c’est la
débauche, nous en avons plein les muscles, c'est gras, il fait frais et comme
nous ne sommes que trois, le travail est de plus en plus physique.
Nous avons
avancé de près de 1m 50 et il faudra encore une séance pour pouvoir prendre une
décision sur la suite dans cette direction.
La
remontés se fera rapide et à -15 le vent chaud nous accueille. Dehors
l'orage gronde et nous aurons droit à quelques gouttes de pluie et à une
nouvelle nuée de taons.
Affaire à suivre.
Alain M
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