B8, B4... l'aventure continue.
Mercredi 18
juillet, Bubu et Alain M
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Nous ne sommes
que deux, il fait très chaud, nous sommes chargés. Toutes les conditions
réunies pour une belle sortie.
Nous arrivons au
B8 après 1h30 de montée et avoir subi les attaques des moustiques et taons.
Dans ce coin, ils sont si gros que lorsqu'ils se posent sur vous, ont sent les
vibrations de leur "réacteur et train d’atterrissage" et
heureusement, cela permet de les écraser
avant la piqure.
La cavité aspire violemment mais comme il commence déjà à faire très chaud, rien de surprenant.
Nous entamons la
désobstruction du dernier passage et rapidement débouchons sur un petit puits.
Équipement et
première descente de 4 m en désescalade. Dessous, un nouveau puits de 6m
nécessite cette fois une corde.
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En regardant de
plus près, au pied du palier, à travers blocs, l'on distingue du vide et les
cailloux descendent de quelques mètres. Nous grattons, relevons, cassons des
blocs et de la terre et arrivons à mettre à jour la tête d'un nouveau puits.
Il faudra
cependant faire un petit aménagement pour pouvoir descendre confortablement.
Nous voyons sur 6 mètres plein vide mais les blocs lancés semblent aller
beaucoup plus loin.
Le courant d'air
descend dans ce puits.
Nous décidons de
ressortir pour casser la croute. Il est déjà 14h30.
Après le casse
croute, nous décidons d'aller voir le B4, une autre cavité découverte par Jean
Claude.
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Nous arrivons au
B4, il n'est situé qu'à 250 m en ligne droite du B8. Merci quand même au GPS!
Là aussi,
violent courant d'air aspiré.
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Nous n'y descendrons
pas ce jour, il est 17 heures passé et nous devons rentrer.
La suite dans
peu de temps.
Alain M
Même pas arrété par le mauvais temps?
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