Les trous des daims…
Dimanche 11 octobre, Patrick et Sandrine, Jean Claude, Joël, Alain M et 2 nouveaux, Thomas et Valérie.
Ce weekend,
nous avions repoussé au dimanche la sortie, pensant avoir un samedi pourri et
un dimanche correct, ce fut à priori juste le contraire.
Alors il
faut s’adapter et surtout trouver des cavités avec peu de marche d’approche.
9 heures, nous sommes à St Pé et 9h30 à l’entrée de la ferme Bazy.
Le propriétaire
nous accueille avec sympathie et nous autorise aimablement à entreprendre des travaux
de recherche et de désobstruction. Il se propose même, lorsqu’il sera libre, de
nous aider dans nos travaux.
Quelques consignes
à respecter concernant les animaux qui se trouvent sur la propriété, je parle d’un
magnifique troupeau de daims, de moutons de Soay, de chèvres, dindons et autre
jard facétieux.
Magnifique, la nature heureuse.
Et c’est parti pour une première reconnaissance. Le temps est moyen il doit faire 5 à 6 degrés et pour la chasse au courant d’air, ce n’est pas terrible.
La première cavité,
le « Souffleur » offre un départ sous un effleurement de calcaire
mais le vent y est absent ce jour. N’empêche, le chantier semble facile et nous
allons l’entamer.
Avant, nous
continuons vers les dolines et un rapide tour nous fais apparaitre 3 départs, c’est
sûr, c’est plus qu’intéressant.
Le temps est
moyen, il commence à bruiner mais cela ne nous empêche pas de commencer des
travaux.
Nous faisons
un peu plus connaissance avec Thomas et Valérie, un peu de jeunesse, cela
baisse la moyenne d’âge des participants.
Thomas
connait bien les Pyrénées pour y être venu il y a quelques années et avoir
travailler à HPSN. Il a même déjà fait une sortie avec le club en juin 2014 et
Valérie est vendéenne !
Pour le trou
souffleur, nous sommes à découvert et pas question de continuer dans la terre
argileuse et détrempée.
Pour le second trou, nous paillons plusieurs fois et bientôt ce sera pénétrable, cela semble un peu plus gros sur 1 ou deux mètres.
Pour le troisième
chantier, découverte d’un puits de 10 mètres creusé dans le remplissage, donnant
accès à une petite salle et suite dans un laminoir qu’il faudra un peu
agrandir.
A 16 heures,
c’est un véritable déluge qui s’abat sur nous et c’est la retraite urgente vers
les voitures.
Trempés
comme des soupes, malgré les combinaisons.
Mais nous y reviendrons
rapidement.
Alain M
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