Ca sent le roussi au Bujoluc...
Bujoluc le 07/05/11
CR par Bubu
Pendant que certains agrandissent le Tonio, j'arrive difficilement à remotiver une équipe pour le Bujoluc.....
Nous partîmes à 4 mais par un prompt renfort, nous nous vîmes 7 dans le Bujoluc ! Les premiers sont déjà au fond que les derniers sont pas encore rentrés!
En fait, on est parti à 3 de Tarbes (Alain M, Frédéric et moi) et en arrivant à Espiaube, Jean Luc nous a rejoint.
Patrick et Sandrine qui sont sortis de bonne heure du Tonio nous ont rejoint à leur tour. Puis Jean Claude est arrivé lui aussi ! A croire que tout le monde y croyait aujourd'hui à cette jonction.
L'objectif était simple, finir la désob, jonctionner avec le Puts d'Espiaube et passer à autre chose. Mais voilà, dans la trémie, un énorme bloc de plus d'une tonne menace de nous tomber dessus si on le chatouille de trop près . Et justement, si on veut passer, il faudra se mettre à plat ventre dessous et retenir son souffle tout en priant Bouillak que le caillou ne se mette pas à rouler. Il y a mieux en guise de pierre tombale! C'est même pas une belle plaque de marbre de calcaire urgonien !
Alors qu'on allait abandonner, Patrick a une idée: "et si on attaquait la désob un peu plus à droite... on éviterait peut être le bloc et on passerait par dessus, c'est toujours mieux que dessous....".
Aussitôt dit, aussitôt fait. C'est la 4ème fois qu'on change d'endroit, on n'est plus à ça près! Mais après deux nouvelles heures de boulot, il faut se rendre à l'évidence... Ce ne sera pas pour aujourd'hui. Un petit noir au plafond pourrait encore laisser un petit espoir mais il n'y a pas du tout de courant d'air dans cette zone.
Tout le courant d'air, très fort aujourd'hui, vient de la zone du gros bloc. C'est rageant, à cet endroit on ne doit être qu'à UN mètre du Puts d'espiaube !!!!
Les 7 nains quittent la mine vers 17 heures et comme ils n'ont pas de Blanche Neige à retrouver, c'est René d'espiaube qui reçoit leur visite pour lui raconter leur déception. René aussi est déçu. Une bonne bouteille sortie de derrière les fagots et un peu de pastis réussiront tout de même à remonter le moral des troupes. .. Et si on faisait tomber le gros bloc une bonne fois pour toutes ? Il y aurait beaucoup de gravats, certes, mais plus du tout de danger pour tenter la jonction ! Allons bon, tout espoir n'est peut être pas perdu ! Il va falloir y revenir au Bujoluc! ....mais pas tout de suite.....
CR par Bubu
Pendant que certains agrandissent le Tonio, j'arrive difficilement à remotiver une équipe pour le Bujoluc.....
Nous partîmes à 4 mais par un prompt renfort, nous nous vîmes 7 dans le Bujoluc ! Les premiers sont déjà au fond que les derniers sont pas encore rentrés!
En fait, on est parti à 3 de Tarbes (Alain M, Frédéric et moi) et en arrivant à Espiaube, Jean Luc nous a rejoint.
Patrick et Sandrine qui sont sortis de bonne heure du Tonio nous ont rejoint à leur tour. Puis Jean Claude est arrivé lui aussi ! A croire que tout le monde y croyait aujourd'hui à cette jonction.
L'objectif était simple, finir la désob, jonctionner avec le Puts d'Espiaube et passer à autre chose. Mais voilà, dans la trémie, un énorme bloc de plus d'une tonne menace de nous tomber dessus si on le chatouille de trop près . Et justement, si on veut passer, il faudra se mettre à plat ventre dessous et retenir son souffle tout en priant Bouillak que le caillou ne se mette pas à rouler. Il y a mieux en guise de pierre tombale! C'est même pas une belle plaque de marbre de calcaire urgonien !
Alors qu'on allait abandonner, Patrick a une idée: "et si on attaquait la désob un peu plus à droite... on éviterait peut être le bloc et on passerait par dessus, c'est toujours mieux que dessous....".
Aussitôt dit, aussitôt fait. C'est la 4ème fois qu'on change d'endroit, on n'est plus à ça près! Mais après deux nouvelles heures de boulot, il faut se rendre à l'évidence... Ce ne sera pas pour aujourd'hui. Un petit noir au plafond pourrait encore laisser un petit espoir mais il n'y a pas du tout de courant d'air dans cette zone.
Tout le courant d'air, très fort aujourd'hui, vient de la zone du gros bloc. C'est rageant, à cet endroit on ne doit être qu'à UN mètre du Puts d'espiaube !!!!
Les 7 nains quittent la mine vers 17 heures et comme ils n'ont pas de Blanche Neige à retrouver, c'est René d'espiaube qui reçoit leur visite pour lui raconter leur déception. René aussi est déçu. Une bonne bouteille sortie de derrière les fagots et un peu de pastis réussiront tout de même à remonter le moral des troupes. .. Et si on faisait tomber le gros bloc une bonne fois pour toutes ? Il y aurait beaucoup de gravats, certes, mais plus du tout de danger pour tenter la jonction ! Allons bon, tout espoir n'est peut être pas perdu ! Il va falloir y revenir au Bujoluc! ....mais pas tout de suite.....
Veuillez nous excuser pour cette interruption momentanée du chantier........
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