On a fermé le Robinet
Caroline, Serge, Bubu, Alain M
et 15 autres personnes.
Ce samedi à 9 heures, nous
étions nombreux sur la place de l'église à Sainte Engrace.
Deux objectifs de déséquipement
étaient au programme, soit le Réseau amont des Cascades dans Arphidia, soit le
déséquipment du trou du Robinet, de la salle Treuthard à la sortie.
Montée en voiture jusqu'au col
puis fin de la marche sur une piste verglacée, la neige des jours derniers
n'étant pas encore toute fondue.
Au chalet Dominique Prébende
nous nous équipons et formons les équipes.
Pour moi, ce sera un retour
dans une cavité où nous avons pris tant de plaisir à faire de la découverte,
depuis 1982. Nous avons eu la chance de participer aux explorations de ce petit
réseau du Robinet qui jonctionnera à plusieurs endroits dans le réseau
d'Arphidia et permettra de trouver tout d'abord des shunts pour aller dans
Arphidia 3, puis ensuite dans Arphidia 4 et même de continuer les explorations,
lorsque le passage dans le Chaos du Baron deviendra trop dangereux.
Nous voici donc dans le tunnel,
un peu allongé dans l'eau pour arriver au barrage du Robinet, ramper jusqu'à la
"Boue Rouge" puis accéder à la série de puits qui donneront, après
environ 150 m de descente, à la galerie de Byzance, véritable accès aux
"grands" réseaux, Arphidia 2, 3 et 4.
Il y a un peu d'eau et comme
par le passé, la descente du puits du Moustachu, une pensée à Pierre, sera bien
arrosée pour ceux qui ne prendrons pas vraiment bien le relais du bon côté.
C'est l'arrosage.
Etant nombreux, la file s'étire
et il ne sera pas nécessaire pour tout le monde d'aller au fond, à 15 ce serait
un peu long.
Une première équipe de 4 ira
dans Treuthard et les sacs de cordes commenceront à remonter.
Ce sera un travail méthodique
et au fur à mesure la remontée du matériel se passera sans encombre.
Vers 19 heures le dernier
équipement rendra l’âme et nous serons tous dehors sous les coups de 19 heures
30.
Du beau travail et un grand
merci à tous les participants.
Alain M
Bravo et merci pour les photos d'Arphidia et le commentaire. Le baron
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