Reprise sur les flancs du Mail Rouy
Samedi 16 septembre
(Sandrine, jean Claude, Patrick, Serge, Bubu, Joël et Alain M.)
C'est un samedi de reprise, les
occupations de chacun et surtout les mauvaises conditions atmosphériques
n'ayant pas permis de sorties les weekends précédents.
Nous nous retrouvons à 7 pour
une petite sortie, la météo est toujours incertaines et vu ce qui est tombé les
jours précédents, pas la peine de tenter le diable.
Objectif : des cavités sans
beaucoup de marche d’approche, afin de pouvoir effectuer un repli stratégique
en cas de nécessité. Il n'en sera rien, le temps sera avec nous jusque vers 16
heures et nous n'aurons droits qu'à quelques gouttes, biens protégés sous une
bonne couverture végétale.
Pour certains, nous ne nous
sommes pas revu depuis juin voir avant et nous avons tous des souvenirs de
vacances à nous raconter.
Partage du matériel et c'est reparti
pour de nouvelles aventures.
Après une petite demi-heure,
nous atteignons la première cavité, le gouffre de la Foire.
Une première exploration en
avril de cette année n'avait pas permis d’atteindre le fond.
Sandrine s'équipe et descend la
cavité. Serge la rejoint suivi de
Patrick. Ils descendent un premier puits de 15 m suivi d'un second de 6 m. L'ensemble se développe sur une fracture qui se pince irrémédiablement à -27 m. Au fond, un boyau latéral est désobstrué, mais cela ne donne pas grand chose et en plus il n'y a pas d'air.
Au sommet du P.15 dans le gouffre de la Foire
La deuxième équipe se déplace
au Prat det Hour où là aussi il y aurait une suite possible.
Bubu équipe et Alain descend la
petite cavité, environ 5 mètres. Au fond un tas de bloc, de très nombreux choux
fleurs mais après avoir déplacé quelques blocs, il faut se rendre à l'évidence,
il n'y aura pas de suite possible pour nous. Seule l'eau s'écoule, c'est étroit,
trop étroit.
Jean Claude descend à son tour
et nous remontons rapidement, c'est terminé.
Nous décidons de rejoindre la
première équipe, en empruntant "l’arrête", cela devrait permettre de
ramasser quelques champignons. Effectivement, les girolles sont au rendez-vous.
Embouteillage au sommet du P.6
Nous atteignons l'altitude de
la première cavité et là nous découvrons un départ.
Il faudra désober, il est midi
passé. La première équipe nous contacte et nous rejoint, leur cavité étant
hélas terminée.
Pause casse-croûte pour tout le
monde, nous en profitons pour souhaiter l’anniversaire à Jean Claude. Bonne
humeur.
Après le repas, Bubu dégage un
gros bloc qui bouche la cavité nouvellement découverte. Hélas, pas de suite
derrière, terminé.
Nous nous déplaçons vers une
autre cavité repérée il y a quelques années, le trou des Basses Pernes.
Très joli départ, une nouvelle
fois Sandrine part la première. Un puits avait été sondé sur une dizaine de
mètres et c'est Serge qui l'équipe. Malheureusement, le fond est bouché à -19 m. Une désobstruction pour atteindre une petite salle supérieure ne donne rien de plus.
Le vent se lève, il faut songer à rentrer. Nous repassons par l’arrête et ramassons quelques nouvelles girolles.
Nous découvrons un autre départ
qui est vite ouvert et nous laisse le passage.
Descente sur 5 mètres mais là
encore, terminé, pas de courant d'air, que des moustiques !
Il est 17 heures, nous sommes
de retour aux voitures. Bonne sortie.
Au fait, vous n'auriez pas une
sangle à me passer !
Alain
Mais qu'il est beau ce crapaud ! Il va certainement se transformé en prince charmant.
RépondreSupprimerAllez, s'il vous plait !!! Une sangle !
RépondreSupprimerDemande au crapaud.
RépondreSupprimerla prochaine fois chacun devra avoir sa sangle .....c'est plus sur
RépondreSupprimerAlors cela sera sanglant !
RépondreSupprimerOui mais les chasseurs seront au sangl...ier !
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