Tramebernède, le mikado minéral

Samedi 26 mars

Dans le cadre des travaux initiés par le CDSC 65, nous nous sommes retrouvés à 7 pour cette deuxième journée de labeur à Tramebernède. Bubu, Joel, Jean Luc, PMA et moi-même en tant que spéléos majeurs et vaccinés, mais nous avons compté dans la troupe mes deux fils aînés, Loukian et Kirsan. 

La journée a débuté par l'accueil chaleureux des propriétaires, puis le travail a commencé, car, il faut le dire, nous ne sommes pas là juste pour partager un moment de pur cocooning dans cette famille très agréable.

Nous retrouvons le chantier tel que nous l'avons laissé, avec tout l'espoir d'enfin voir s'ouvrir à nous la gueule de la cavité. 

Des blocs de calcaire sont sortis, des seaux de terre vidés…. 

Nous grattons afin de déterminer si ce que nous voyons ne serait pas de la roche mère. 

Enorme déception ! Ce n'est qu'un mikado mortel. 

Au-dessus de l'entrée rouverte se trouve un abrupt "couloir avalancheux" qui ne demanderait qu'à transformer un lieu de plaisir en tombeau. 

Sur nos promontoires respectifs, chacun va de sa théorie pour sécuriser l'endroit. Tous se posent la question de comment est l'intérieur. 

Est-ce à l'image de l'entrée, ou est-ce aussi un chaos en suspension ?

Est-ce que quelqu'un a un endoscope ? Bien sûr ! Toujours dans mon sac à main ! Mince, même ça, je n'en ai pas. 

Et si on y envoyait le chien ? Personne n'ayant validé ses études en langue canine, l'idée n'est pas retenue.

Bref, nous avons bien quelques idées qui restent à être validées avant de pouvoir poursuivre notre quête. 

Un instant, nous nous sentons dans la peau d'Indiana Jones dans l'épisode de "Tramebernède, la cavité ensevelie".

A bientôt pour de nouvelles aventures. 

Kat. 


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