La tempête au Bujo

Samedi 17 décembre, Bubu, Jean Claude, Jean Luc et Alain M.

La tempête Joachim est à peine terminée que nous décidons de retourner pour continuer cette désob qui nous tient tant en haleine.
Le temps est très mauvais et après avoir essuyé un orage de grésil à Tarbes, ce sera une montée tout équipé, sous des trombes d'eau. Qu'à cela ne tienne, le trou n'est pas loin.
A l'entrée, c'est la course à qui  rentrera le premier pour se mettre à l'abri. Quel désenchantement, l'entrée est grasse et nous aspire comme "un suppositoire" comme dirait Bubu.
A l'intérieur, il pleut, moins quand même que dehors mais il faut chercher où se mettre et le sol est bien gras.
Rapidement nous réattaquons le chantier mais il sera plus résistant que prévu.
La terre qu'il fallait ressortir avec des seaux n'a en fait que quelques centimètres d'épaisseur et dessous c'est de la bonne roche qu'il nous faudra casser dans des positions plus qu'inconfortables.
La cavité résiste, nous n'en arriverons pas à bout ce jour.
A 18h30, c'est la débauche et retour sous une pluie encore battante, la neige n'est pas loin.
René nous attend pour avoir les nouvelles et nous offre l'apéritif.
A suivre une nouvelle fois.
Alain M

Commentaires

  1. Quand tout est essayé, la cavité à toujours son dernier mot. C'est comme les hommes qui ont toujours le dernier mot, en général, c'est "oui chéri".

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